Lentement s’en allait le temps,
Doucement chantaient les oiseaux,
Et en silence pleurait son cœur…
Dans ses yeux toute sa peine,
Dans ses larmes tous ses cris,
Et dans son cœur, tous ses rêves brisés…
Plus loin encore le temps s’échappait,
Et toujours le chant des oiseaux,
Et dans sa chambre, une solitude sans nom…
Le silence des jours sans vie,
L’amertume des heures noirs,
Le désespoir des âmes perdues…
Symplice B. MVONDO, in "Les couleurs de la nuit", Edilivre, 2011