Je voudrai graver nos moments,
Sur les ailes du temps,
Pour qu’ils survivent à l’oubli
Et parviennent à l’éternité.
L’instant est si fragile
Et le bonheur si souvent,
Se refuse à résister
A l’usure du temps…
L’éternité se dérobe sous nos pas,
Le temps qui passe ne revient pas
Et comme du sable dans le vent,
Le chemin passe et la fin se rapproche…
Symplice B. MVONDO, in Dialogue avec le temps (inédit)